The Ancient Greek Wild in The Winter's Tale

By Michael Steffes

Quand on lit The Winter’s Tale de Shakespeare à la lumière de ses allusions aux traditions culturelles grecques comme elles étaient comprises à la Renaissance, on se rend compte que les liens entre les personnages sont plus étroits que prévus. Si…

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Quand on lit The Winter’s Tale de Shakespeare à la lumière de ses allusions aux traditions culturelles grecques comme elles étaient comprises à la Renaissance, on se rend compte que les liens entre les personnages sont plus étroits que prévus. Si l’on se rappelle l’association entre l’ours et Artemis, protectrice de la faune sauvage et déesse de la fertilité, le lien entre l’ours et Hermione s’éclaircit. La transgression du loup, nommé Autolycus, offre une parodie de la louveté tyrannique de Léontès, ce qui aide le public à le comprendre et, peut-être, à lui pardonner. Par conséquent, ces deux personnages, qui ne sont pas essentiels à l’intrigue, sont en fait bien intégrés dans la pièce.

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  • Steffes, M., (2025), "The Ancient Greek Wild in The Winter's Tale", HSSCommons: (DOI: )

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Original publication: Steffes, Michael. "The Ancient Greek Wild in The Winter's Tale." Renaissance and Reformation 39 (4): 2020. 31-51. DOI: 10.33137/rr.v39i4.8918. This material has been re-published in an unmodified form on the Canadian HSS Commons with the permission of Iter Canada / Renaissance and Reformation. Copyright © the author(s). Their work is distributed by Renaissance and Reformation under a Creative Commons Attribution-NonCommercial 4.0 International License. For details, see https://creativecommons.org/licenses/.

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